Vérifiez tout dans la maison

Pour commencer, il faudra contrôler la soupape de sécurité du chauffe-eau. Elle est attachée directement aux canaux. Il est donc difficile d’imaginer qu’il y a une fuite. Si vous n’arrivez pas à enlever le tuyau, vous pouvez tendre votre oreille pour écouter attentivement s’il y a un sifflement, c’est-à-dire une fuite. Sinon, ouvrez le réservoir de la toilette et essayez d’entendre un sifflement. Identifiez d’où il vient. Si vous avez trouvé l’origine de la fuite, estimez sa gravité et réparez-la ou demandez l’aide d’un plombier. S’il n’y a rien, pensez à ajouter une petite quantité de colorant alimentaire dans le réservoir, non la cuvette. Attendez un instant. S’il apparaît dans la cuvette, cela signifie qu’il y a une fuite dans l’obturateur qui se trouve au fond de celle-ci.

Inspectez votre extérieur

Si les toilettes ne fuient pas, il faudra inspecter entre la maison et le compteur. Fermez la valve d’arrivée d’eau et vérifiez si le compteur tourne. Y a-t-il des zones boueuses, du gazon qui pousse plus rapidement ou de l’herbe plus verte ? Si vous constatez un signe éventuel, pensez à réparer la fuite. Dans le cas échéant, elle provient de l’intérieur de la maison. Pour mieux localiser d’où vient l’écoulement d’eau, examinez aussi la tuyauterie des robinets, surtout les embouts reliés à une machine à laver ou au tuyau d’arrosage. Avant ou arrière, tendez bien l’oreille pour détecter une fuite. A l’aide d’un tournevis long, insérez le bout dans la partie métallique de l’embout. Contrez le bout de votre tournevis avec l’articulation de votre pouce. Ecoutez bien de l’autre côté de l’articulation si vous arrivez à entendre un son sortir de l’embout. Faites le même test avec les embouts restants. Si le son devient plus fort dans l’un d’entre eux, sachez que la fuite n’est pas du tout loin. Si vous n’avez rien entendu, faites pareil avec tous les robinets à l’intérieur de votre demeure.

Préparez votre plafond

Inutile de préciser qu’il faut vider la pièce concernée avant de passer à la phase peinture. Vos meubles risquent en effet d’être entachés. Par ailleurs, ils vous gêneront dans l’exécution de vos travaux. Avant de prendre le pinceau, vous devez également préparer la surface à repeindre. La première chose à faire est d’identifier le type de peinture qui est mis sur le plafond. S’il s’agit d’une peinture à l’eau, il faut lessiver toute la surface du plafond. S’il s’agit d’une peinture à l’huile, il est indispensable de le poncer. Cette étape est importante pour permettre à la nouvelle peinture d’adhérer correctement au support. Pour cela, la ponceuse girafe vous facilitera grandement vos travaux de ponçage. Grâce à son manche télescopique, vous n’avez pas besoin de fournir un effort monstre pour poncer votre plafond. Faites attention aux poussières ! Munissez-vous de lunettes, d’un masque et de gants de protection. Après le ponçage, nettoyez bien le plafond et toute la pièce.

Lancez-vous dans vos travaux de peinture

Vous avez fini de lessiver/poncer votre plafond. Protégez bien vos murs et vos sols des projections de peinture, à l’aide de bâches. Vous pouvez commencer la peinture. Utilisez un rouleau de peintre de bonne qualité et travaillez dans le sens de la lumière (fenêtre). Vous commencez donc par le côté du plafond le plus éloigné de la fenêtre et peignez au fur et à mesure par des surfaces de 1 mètre carré environ. Ne repassez pas sur une partie où la peinture est déjà un peu sèche. Vous risquez d’y laisser des traces. Pensez à fermer les fenêtres pour ralentir le séchage.

La préparation des tablettes ou des planches

L’étagère murale convient à toutes les pièces de la maison : salon, cuisine, chambre… Ce sera en fonction de la pièce ou du style de décoration que vous allez choisir la matière ou l’aspect du bois pour les étagères. Pour qu’elles s’adaptent mieux au décor, l’idéal est de miser sur le bois traité, poncé, peint ou vernissé. Mais rien ne vous empêche d’adopter du bois à l’état brut (traité) si vous aimez le style rustique. L’épaisseur recommandée pour une tablette d’étagères est de 5mm si celles-ci vont servir pour exposer vos bibelots, et de 10mm pour accueillir des objets plus lourds comme les bocaux, les livres ou les vaisselles.

La prise des mesures

Il est important de considérer la taille de la pièce et d’y adapter la dimension des étagères pour avoir un travail de précision. Commencez par mesurer le mur suivant la longueur, puis les planches afin de les découper. Prenez aussi les mesures en vertical pour déterminer la hauteur des étagères. Il est fortement conseillé de marquer, à l’aide de crayon, d’une règle et d’une équerre, pour vous assurer que la pose soit bien perpendiculaire et stable.

La pose des étagères

Pour cette dernière étape, vous aurez besoin à la limite d’équerre pour la fixation au mur, de vis et de tournevis, électrique de préférence. En suivant les marques tracées lors des prises de mesures, vous allez poser les équerres de fixation, puis les planches par-dessus. Il ne vous reste plus qu’à disposer vos objets sur les étagères et admirer votre œuvre.

Choisir et acheter son alarme

Quand on est néophyte, il n’est pas toujours simple de savoir quoi acheter, ni où se procurer le meilleur matériel. Nous recommandons alors de se tourner vers un spécialiste des alarmes, même si certains magasins généralistes comme Leroy Merlin peuvent parfois faire l’affaire. Si vous en connaissez déjà un de confiance, rendez-vous chez lui ! Sinon, vous pouvez vous diriger vers un site spécialisé comme par exemple cfpsecurite.com

Les éléments à installer

De manière générale, une alarme complète comprendra des détecteurs de mouvement et d’ouverture mais aussi une centrale d’alarme, un clavier déporté, un transmetteur d’alerte et des télécommandes. Pour compléter l’ensemble, il est possible de rajouter des sirènes extérieure et intérieure, des détecteurs techniques, des barrières infra-rouges ou encore des caméras.

Où fixer ces composants ?

Pour optimiser l’efficacité d’une alarme de maison, l’emplacement de chacun de ses composants doit être déterminé de manière judicieuse. Il n’est pas nécessaire d’installer des détecteurs dans toutes les pièces et sur toutes les issues. L’important est de les fixer dans les lieux stratégiques et les endroits les plus vulnérables. Le seul moyen d’identifier ces points consiste à analyser avec soin la configuration de son logement.

Conseils sur l’emplacement des dispositifs

La centrale d’alarme doit être fixée sur une surface plane, dans un espace ouvert accessible à l’utilisateur, mais difficilement localisable pour les voleurs. Placée en hauteur, elle doit être proche d’une prise de téléphone ou d’une box si le transmetteur associé est de type RTC. Si le transmetteur est de type GSM, la centrale pourra être implantée à peu près n’importe où, pourvu que le signal réseau soit de qualité suffisante.
L’entrée et les portes d’accès sont généralement équipées d’un détecteur d’ouverture. Les baies vitrées seront protégées par un détecteur de chocs. Derrière la porte d’entrée se trouve habituellement le clavier déporté. Quant aux détecteurs de mouvement, ils seront placés dans les zones de passage et les pièces de vie principales.
Enfin, les sirènes sont toujours posées en hauteur. Celle extérieur doit être bien visible sur une façade dégagée pour jouer à plein son rôle dissuasif. Celle intérieure sera fixée dans une pièce ouverte. Cet emplacement permettra en effet une amplification sonore.

Veiller à une performance isolante élevée pour sa toiture

Source de déperdition d’énergie, la toiture d’une maison doit être renforcée pour donner une meilleure isolation thermique et éviter l’humidité. En ce cas, le moyen le plus efficace est d’utiliser un écran de sous-toiture ou de tuiles en terre cuite. Ces matériaux offrent une bonne aération, sont un moyen efficace de lutter contre les infiltrations et la déperdition de chaleur. En un mot, ils permettent d’augmenter la performance en isolation d’une maison.
L’installation de ces matériaux peut se faire par soi-même et permet certes de faire des économies. Cependant, il est conseillé de faire appel à un professionnel. Les travaux seront de qualité et effectués selon les normes de la performance énergétique.

Quelques techniques pour éviter les ponts thermiques au sein d’une maison

Les ponts thermiques sont souvent responsables de la déperdition d’énergies. Ils peuvent être au niveau des murs, des sols, des angles et de la toiture. Le meilleur moyen pour les déterminer est de faire des diagnostics.

Pour une meilleure isolation des portes et des fenêtres, il est possible de les calfeutrer. L’utilisation d’un système de vitrage plus performant est aussi une solution. La pose d’un isolant réflecteur derrière les radiateurs de chauffage central ou l’installation d’un ballon d’eau chaude calorifuge est une autre alternative. Et pour les volants roulants, installer des isolants minces au niveau des coffres est une idée à exploiter. Toutes ces techniques permettent de réduire les déperditions d’énergies au maximum.

Le matériel nécessaire

Bien peindre sa maison c’est avant tout avoir avec soi les bons matériels. Il faut par exemple savoir que les rouleaux à poils ras est indispensable pour les peintures brillantes et les laques. Les rouleaux à poils courts ou longs sont par contre adaptés à l’application de peintures mates ou satinées.

Si vous comptez utiliser de la peinture à l’eau, le mieux est d’utiliser un pinceau en poils synthétiques. Ceux qui sont en soie ou en laine sont par contre favorables à une peinture à l’huile.

À noter que le choix des pinceaux dépend du type de surface à peindre. Les pinceaux plats sont faits pour les surfaces planes. Si la surface comprend de moulure, optez pour un pinceau à bout rond.

Peindre sa maison : les étapes incontournables

Quel que soit le type de surface à peindre, il existe des étapes à suivre pour avoir un meilleur résultat. Commencez par protéger le sol et les objets proches des murs des éclaboussures de peintures. Préparez ensuite la surface à peindre. Il s’agit de bien la nettoyer et de faire en sorte qu’elle soit plus lisse. Si les murs sont à peindre, mettez de l’adhésif de protection sur les plinthes et le plafond. S’il s’agit de peindre le plafond, l’adhésif est à coller sur les murs.

Pour obtenir un résultat optimal, il faut commencer par dégager les angles et les bords en se servant d’un pinceau à bout rond. L’étape suivante consiste à appliquer de la peinture verticalement avec un rouleau bien essoré. Une fois que la première couche est sèche, vous pouvez vous lancer sur l’application de la seconde couche en respectant le même principe.

]]> http://www.travauxdelamaison.fr/peindre-soi-meme-sa-maison/feed/ 0 http://www.travauxdelamaison.fr/customiser-ses-vieux-meubles-conseils/ http://www.travauxdelamaison.fr/customiser-ses-vieux-meubles-conseils/#respond Sat, 19 Jul 2014 17:03:13 +0000 http://www.travauxdelamaison.fr/?p=9 Donner une nouvelle jeunesse à ses vieux meubles peut se faire aisément et sans trop de budgets. De bonnes idées et un peu de savoir-faire en matière de bricolage permettent de les styliser à ses goûts !

Bien nettoyer ses vieux meubles

Avant de procéder à un relooking d’un vieux meuble, il est important de bien le nettoyer en le brossant énergiquement. Ceci permet de se débarrasser des poussières et des tâches. Le ponçage est une autre action qui peut s’avérer nécessaire pour assurer par la suite le succès de la customisation. En effet, il existe des saletés qui ne s’enlèvent pas avec un simple brossage. À défaut de ponceuse électrique, l’usage du papier de verre peut faire l’affaire. Non seulement les résidus de vernis ou de teinture sur le meuble partent facilement, mais la tenue de la nouvelle peinture est assurée.

La peinture : une solution de relooking efficace pour les vieux meubles

Customiser ses meubles c’est leur donner un aspect plus chic. Le choix de la couleur est un élément important pour réussir cette action. Etre au courant des couleurs à la mode et des tons qui riment avec tel ou tel style s’avère ainsi nécessaire.

Après avoir fait le choix de la couleur, on peut commencer à peindre le vieux meuble. La formule est d’utiliser une sous-couche blanche tout en essayant de l’appliquer le plus uniformément possible.

Ce n’est qu’après cette action qu’on procède à l’application de la couleur choisie. Comme pour la sous-couche, il est important de l’appliquer de façon uniforme. Le résultat n’en sera que plus esthétique. À noter que les couches de peinture doivent être épaisses afin de donner une touche éclatante et élégante au vieux meuble.
Quand la peinture est bien sèche, il faut y appliquer une couche de vernis. La finition est assurée et la peinture du meuble est protégée.

Conseils pour mieux établir le plan de sa maison

Réaliser les plans de sa maison soi-même se présente comme une solution économique. Il est possible de les faire à la main. Ce qui implique des outils basiques comme des feuilles de calques, des feuilles cartonnées et un crayon papier. Une équerre, une règle, un compas et des ciseaux sont également nécessaires.

Vous allez par la suite dessiner les plans selon vos besoins, dont l’emplacement des fenêtres et portes ainsi que les différentes pièces. Les plans à la main sont certainement efficaces, mais ils prennent assez du temps.

Avec l’évolution de la technologie, vous avez la possibilité de dessiner le plan de votre maison à l’aide d’un logiciel. Gratuit et facile, il suffit de le télécharger en ligne. Cet outil permet en tout cas d’avoir une visibilité globale du projet.

Astuces sur les dimensions

Faire soi-même les plans de sa maison implique de bien maîtriser les différentes dimensions. Il faut préciser que le dessin de vos plans doit être plus réduit. Il doit dans ce cas se faire à l’échelle. La technique pour réussir ses plans de maison est de réduire au maximum la taille des couloirs.

Dans la prise des dimensions des pièces, il est conseillé de procéder 5 cm par 5 cm. Si vous prévoyez par exemple une pièce rectangulaire de 12 m², il est adéquat de faire 3 x 4 m. N’oubliez pas non plus de dessiner à l’échelle tous les meubles à installer dans telle ou telle pièce de votre future maison.

L’isolation est un élément important dans un logement. Pour éviter les déperditions d’énergie, le plan que vous allez dessiner doit minimiser la surface extérieure de l’habitat.

Les mesures et la fixation de l’ossature en métal du faux plafond

Si vous avez décidé de mettre en place un faux plafond, commencez par prendre des mesures. Cela vous permettra de choisir les matériaux nécessaires. Afin de mener à bien la pose de votre faux plafond, il est recommandé de faire une visualisation sur papier des découpes, des rails et des plaques.

Comme la mise en place des plaques se fait de façon perpendiculaire, il est conseillé de tracer au plafond les endroits prévus pour leur emplacement. L’étape suivante consiste à fixer l’ossature métallique du faux plafond. C’est une étape importante, car elle va participer à la performance en isolation de la pièce.

La pose de l’ossature au plafond doit se faire en fonction de la largeur ou de longueur des plaques. Afin d’assurer un meilleur rendu en matière de solidité, il est plus adéquat de la fixer tous les 50 cm. Vous pouvez par la suite percer et fixer les rails. Il faut bien visser la structure et bien vérifier que la surface est placée.

L’installation du faux plafond et les finitions

Quand l’ossature est bien fixée, les plaques peuvent être installées par–dessus. N’oubliez pas de faire la pose de façon perpendiculaire à la structure. Pour obtenir de meilleur résultat, vous devez bien soutenir la plaque quand vous insérez les vis. Comme le plâtre est une matière fragile, il est conseillé de ne pas trop enfoncer les vis au bord.

Quand vous avez terminé la pose des plaques, les trous laissés par les vis doivent être bouchés en utilisant un enduit de rebouchage. Pour avoir un résultat plus efficace, un ponçage avec de l’abrasif fin est nécessaire.